Selon le site d'information en ligne Walla (citant de hauts responsables palestiniens), Israël aurait posé comme conditions aux pourparlers de paix avec l'Autorité palestinienne (PA) la fin de la vague d'attaques terroriste. Selon les sources, lors de plusieurs réunions liées à la sécurité entre des représentants israéliens et les représentants palestiniens, les représentants de l'Autorité palestinienne ont posé plusieurs conditions à la reprise des pourparlers de paix .Détails...
Ces conditions sont :
-Le gel des constructions en Judée et Samarie
-Des négociations sur un retour aux frontières d'avant 1967
-La libération de 36 terroristes qui devaient être libérés lors des derniers pourparlers en 2014.
Toutefois, selon Walla, les responsables israéliens ont indiqué clairement qu' Israël n'envisagera de reprendre le processus de paix que si la vague d'attaques terroristes actuelle s'arrête .
Les pourparlers de paix ont été gelés depuis 2014, lorsque l'AP a unilatéralement rejoint les organisations internationales en violation des accord d'Oslo et des pourparlers précédents.
Depuis lors, l'Autorité palestinienne a lancé une "offensive diplomatique" contre Israël. Elle a tenté d'adhérer à des organisations internationales telles que la Cour pénale internationale (CPI), pour soit-disant soumettre des «preuves» de présumés crimes de guerre israéliens contre les Palestiniens dans le but de faire poursuivre Israël.
Les responsables de l'AP qui ont parlé à Walla ont souligné qu'il n'y a pas eu de contacts diplomatiques entre l'Autorité palestinienne et Israël depuis la cessation des négociations menés par l'ancien ministre Silvan Shalom et le chef négociateur de l'OLP Saeb Erekat.
Ils ont également dit que malgré l'absence d'un processus de paix, l'Autorité palestinienne maintient la coordination de la sécurité avec Israël et travaille pour empêcher les attaques, à la fois par des terroristes isolés et par des organisations terroristes, notamment le Hamas.
Plus tôt cette semaine la radio Kol Israël a révélé que M. Erekat avait proposé des négociations secrètes lors d'une réunion le 24 Juillet dans les bureaux de renseignement jordaniens à Amman avec Silvan Shalom, qui était en charge des négociations avec l'Autorité palestinienne.
La station de radio a déclaré qu' Erekat et Shalom se sont réunis à nouveau trois mois plus tard au Caire, où Shalom a notifié à Erekat le refus par le gouvernement israélien de sa proposition de négociations secrètes.
Erekat a confirmé la rencontre avec Shalom mais a nié avoir proposé des négociations secrètes.
-Le gel des constructions en Judée et Samarie
-Des négociations sur un retour aux frontières d'avant 1967
-La libération de 36 terroristes qui devaient être libérés lors des derniers pourparlers en 2014.
Toutefois, selon Walla, les responsables israéliens ont indiqué clairement qu' Israël n'envisagera de reprendre le processus de paix que si la vague d'attaques terroristes actuelle s'arrête .
Les pourparlers de paix ont été gelés depuis 2014, lorsque l'AP a unilatéralement rejoint les organisations internationales en violation des accord d'Oslo et des pourparlers précédents.
Depuis lors, l'Autorité palestinienne a lancé une "offensive diplomatique" contre Israël. Elle a tenté d'adhérer à des organisations internationales telles que la Cour pénale internationale (CPI), pour soit-disant soumettre des «preuves» de présumés crimes de guerre israéliens contre les Palestiniens dans le but de faire poursuivre Israël.
Les responsables de l'AP qui ont parlé à Walla ont souligné qu'il n'y a pas eu de contacts diplomatiques entre l'Autorité palestinienne et Israël depuis la cessation des négociations menés par l'ancien ministre Silvan Shalom et le chef négociateur de l'OLP Saeb Erekat.
Ils ont également dit que malgré l'absence d'un processus de paix, l'Autorité palestinienne maintient la coordination de la sécurité avec Israël et travaille pour empêcher les attaques, à la fois par des terroristes isolés et par des organisations terroristes, notamment le Hamas.
Plus tôt cette semaine la radio Kol Israël a révélé que M. Erekat avait proposé des négociations secrètes lors d'une réunion le 24 Juillet dans les bureaux de renseignement jordaniens à Amman avec Silvan Shalom, qui était en charge des négociations avec l'Autorité palestinienne.
La station de radio a déclaré qu' Erekat et Shalom se sont réunis à nouveau trois mois plus tard au Caire, où Shalom a notifié à Erekat le refus par le gouvernement israélien de sa proposition de négociations secrètes.
Erekat a confirmé la rencontre avec Shalom mais a nié avoir proposé des négociations secrètes.