La police militaire a lancé mardi une enquête criminelle afin de trouver l'origine des récentes fuites d'informations sensibles concernant les pertes de Tsahal durant l'opération " Bordure protectrice ". L'enquête est dirigée par l'unité de lutte contre la fraude de la police militaire. Les enquêteurs ont arrêté trois soldats et un civil dans le cadre de cette affaire. Selon le rapport...
...des noms de soldats qui ont été tués dans des affrontements avec des terroristes dans la bande de Gaza dimanche ont été diffusés via la messagerie instantanée WhatsApp. Au moins une famille a appris la mort de leur fils par WhatsApp avant que les responsables militaires ne soient arrivé à leur domicile. Plusieurs autres familles ont vu les noms de leurs fils énumérés parmi les morts alors qu'ils ne l'étaient pas.
Selon la radio militaire, les trois soldats soupçonnés d'avoir propagé les rumeurs avaient, dans le cadre de leurs activités, accès aux noms des blessés, tandis que le civil impliqué dans l'affaire avait accés aux photos des cercueils ! Ces photos ont été postées sur des plateformes de médias sociaux .
Les quatre suspects ont été interrogés pendant la nuit. Les enquêteurs vont maintenant transmettre le dossier au bureau du procureur militaire qui sera susceptible de les inculper pour avoir divulgué des informations restreintes, voir fausses.
Selon la radio militaire, l'enquête est toujours en cours...
Source Koide9enisrael