dimanche 29 décembre 2019

Les F-35 israéliens en quête de suprématie: Des tests pour contrer les S-400 ?


L’armée israélienne cherche à «neutraliser» les systèmes de défense russes tels que ceux déployés en Syrie. Il s’agit principalement des S-300, dont l’armée syrienne est dotée, ainsi que les S-400 qui assurent un parapluie aux bases de Tartous et de Hmeimim.......Détails........


C’est contre des batteries de Patriot déployées non loin de Gaza que l’armée de l’air israélienne a démarré ses exercices. 
Et dans la mêlée, on trouve les avions furtifs dont l’Amérique a doté l'Israel Air Force depuis quelques mois déjà.
Les F-35 ont ainsi été mobilisés pour manœuvrer et contrer le verrouillage des batteries d’interception Patriot, eux aussi acquis aux USA.
Nul doute que ces exercices visent pour l’essentiel à évaluer la capacité des chasseurs furtifs à se jouer du système d’acquisition des «objets ennemis» qui font la fierté de l’US Army. 
Avant de pouvoir tester, le cas échéant, les mêmes avions furtifs dans des raids réels en Syrie, voire contre «l’ennemi juré» que représente l’Iran.
Mais il faut croire qu’il y a loin de la coupe aux lèvres.
En effet, sur la foi des révélations faites par la plateforme The EurAsian Times, les tests supplémentaires du chasseur F-35B Lightning II, annoncés par le Pentagone, auraient montré que les États-Unis n’étaient pas certains que l’avion puisse passer inaperçu aux yeux des systèmes russes de défense antiaérienne S-300 livrés en Syrie.
«Le fait que les Américains aient tenté de rendre l’avion invisible ne signifie pas qu’il le soit vraiment», déclare un expert de la défense, qui précise que «ce n’est pas pour rien si le Pentagone a récemment soudainement annoncé la nécessité de tests supplémentaires pour le F-35. 
Cela montre clairement que les États-Unis eux-mêmes ne croient pas en la compétence du F-35 contre les systèmes de défense antiaérienne S-300».
The EurAsian Times précise toutefois que le F-35 Lightning II a été créé avec l’objectif de contrer les S-300, auxquels les États-Unis ont eu accès il y a des décennies.
Dans ce contexte, la plateforme informatique ajoute que «des informations suggèrent que dès que l’Iran avait commencé à négocier avec la Russie au sujet de l’achat de S-300 pour sa défense, Israël aurait payé beaucoup d’argent à la Grèce pour pouvoir accéder à ces systèmes et à les étudier», et «les États-Unis ont acheté des parties du complexe via la Biélorussie».
The EurAsian Times nuance cependant en soulignant qu’il s’agit là «des premières versions des S-300. La différence entre la technologie moderne et celle de 1978 est énorme».
Commentant les livraisons des systèmes russes à l’armée syrienne, l’un des experts cités par le média assure que les S-300 augmenteraient «considérablement la défense aérienne syrienne, mais dans une seule région, puisqu’il n’a été annoncé que seuls quatre systèmes SAM seraient livrés».
Pour cet initié, «l’aviation israélienne est suffisamment nombreuse et bien équipée pour résister à une telle protection. Mais le risque de pertes, dans ce cas, sera beaucoup plus élevé».
Ces propos se rapportent aux seuls S-300. Que dire dès lors face aux S-400 ?
(Koide9enisrael tient a préciser que les F-35 sont selon d'autres spécialistes de la défense capable de passer innapercu devant des batteries de S-400 alors qui dit vrai ? )

Source Perspectives Med
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