dimanche 11 novembre 2018

Brassage des cultures : Voici la preuve qu’Israël et le Cameroun sont en harmonie


Danseurs camerounais et israéliens ont servi, le 09 novembre 2018, au public du Street Corner à Yaoundé, du new look. C’était en présence de l’ambassadeur d’Israël au Cameroun Ran Gidor......Détails........


  
Quatre passages, quatre prestations. La signature est celle de la chorégraphe Danit Nathan. 
Danseuse professionnelle depuis 22 ans, celle qui officie aussi comme personnel à l’ambassade d’Israël, a réussi son coup. Les habitués du Street Corner, auront eu du mal à reconnaitre le milieu où chaque soir, les spectacles de danses sont donnés pour chasser les énergies négatives. 
Cette fois, des sonorités version Hip Hop et Israélienne se sont mis ensemble pour faire bouger même l’ambassadeur d’Israël Ran Gidor, venu pour l’occasion soutenir les acteurs du jour. 
« Entend qu’ambassadeur, il est attendu de moi, non seulement de travailler avec l’administration, mais aussi avec le bas peuple. C’est aussi une grande joie pour moi de découvrir qu’au sein de l’ambassade d’Israël nous avons du personnel à talents multiples. »

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Des difficultés que les peuples Israéliens éprouvent, passant par la danse de Jérusalem et le mélange de la culture camerounaise et Israélienne, pour atteindre la danse Israélienne avec des motifs africains, la chorégraphe Danit Nathan et son équipe de danseurs,  ne se font pas prier pour conduire les mélomanes camerounais jusqu’au bord du mur des lamentations en Israël. Cette démonstration vient confirmer les bonnes relations entretenues entre le Cameroun et l’Etat d’Israel. 
«Je pense que  la danse est une façon pour tout horizon de se mettre ensemble. », confie Danit Nathan. 
«  Pour préparer cet évènement, nous avons connu pas mal de défis, pas mal de choix, mais je pense que c’est une expérience très forte pour moi-même et pour les danseurs.  
Ici à Street Corner, nous avons décidé de mettre ensemble la culture camerounaise avec la culture israélienne à travers la danse, l’expression corporelle. Nous pensons que c’est une grande coopération des cultures», ajoute-elle.
Quant à Henry Stéphane Omgbwa, promoteur du concept Street Corner, « l’apport est en deux sens. Dans un premier temps, C’est une relation qu’on a commencé à créer. 
De deux, ça permet aux artistes camerounais qui n’ont pas l’habitude  d’utiliser d’autres cultures que la leurs, d’étudier celle-ci. Ce qui ne peut que les faire progresser. »





Source Afrik Info
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