mardi 26 août 2014

La vérité peut sortir du puits...

 
Le grand remplacement est à l’œuvre et doit être le cœur de cible de toute politique raisonnable pour sauver la France en ses espèces charnelle, culturelle et spirituelle, c’est-à-dire civilisationnelle. Il est un temps pour rêver, et un temps pour agir, et, entre les deux (nous y sommes), un temps pour ouvrir les yeux. Depuis la fin de la guerre d’Algérie et la mise au rebut des politiques qui visaient à préserver la France de Méditerranée, certains ont songé à renverser les alliances pour prendre le monde arabe comme partenaire... 

Quand on décide d’un tel bouleversement, on aboutit toujours au reniement des anciens amis au profit des nouveaux.
En ces temps là, les années 60 et 70 jusqu’au premier choc pétrolier, la cinquième république troqua les kippas contre des turbans et abandonna l’alliance privilégiée de la France avec Israël. Tout concordait : la volte-face gaulliste avait établi le FLN maître de l’Algérie, l’acceptant comme interlocuteur valable et reconnaissant en lui une organisation « nationaliste et résistante » à laquelle il fallait rendre hommage ; du coup, les Etats arabo-musulmans qui avaient soutenu la rebellion algérienne prenaient du galon, et d’adversaires se muaient en partenaires. Le pétrole aidant, ils devinrent des alliés et, à partir de 1973, les maîtres du jeu mondial.
Oubliés les « massacres à la tronçonneuse » de Melouza, d’el Allia, d’Aïn Abid ou autres Wagram, ignoré celui du 5 juillet 1962 à Oran, et bien sûr, au Moyen-Orient, Israël devint l’empêcheur de négocier en rond.
Pourtant, les crimes contre l’humanité de ces temps là, en Algérie, avaient déjà toutes les caractéristiques de ceux qui ensanglantent l’Irak et la Syrie aujourd’hui, et ceux commis par les armées des premiers califes n’étaient guère différents des crucifixions et décapitations qui jalonnent la course des Boko Haram ou autre califats d’Irak, de nos jours…
L’islam est immuable, et pratique par éclipses avec des retours fulgurants. Ne jamais compter sur l’amitié, ni n’en nouer, avec des musulmans dans les périodes d’accalmie pour ne pas être en porte-à-faux quand ils se réveilleront. On peut traiter, mais avec une longue cuillère, sans laisser l’affectivité s’installer.
Mais on s’était embarqué dans une alliance arabe, et rien de devait venir entacher sa pureté. Comment ?! On se serait lié d’amitié avec des sauvages ?! Sûrement pas, et c’était donc qu’ils ne l’étaient pas ! Leurs victimes ? Elles devaient bien avoir quelque chose à se reprocher pour déclencher tant de haine ! Elles avaient du les provoquer, manger pendant le ramadan par exemple, ou se promener court vêtues pour les femmes, ces êtres impurs et tentateurs que les chrétiens laissent aller à leur guise, ou boire de l’alcool, ou que sais-je encore !
Et le pétrole inonda la belle société politique française et occidentale au point d’être obligé de mettre sous le boisseau la vérité du 11 septembre, puis de la déformer.
Les intérêts d’Etats sont respectables mais ne peuvent aller contre l’intérêt civilisationnel qui nous lie.
On s’offrit Ben Laden et l’Irak comme boucs émissaires pour en préserver d’autres, ce qui aurait mis à nu la réalité de l’islam et du monde arabe. Non que Ben Laden n’ait pas commis le crime de lancer l’attaque, mais que celle-ci n’aurait pu se produire sans l’appui de pays très proches des Etats-Unis et que les dirigeants américains ont protégé malgré l’énormité de l’attentat.
 Petit à petit, on en vint à justifier les actions de jihadistes surgissant de dessous leurs oripeaux « nationalistes ». Ils n’avaient jamais existé en tant que tels, mais cela n’avait point frappé les éminences qui nous gouvernaient alors (et encore maintenant), ni les communistes et gauchistes de tous poils qui virent en eux le sel de la terre, et les damnés qui remplaceraient les prolétaires pour détruire – enfin ! – la société et la civilisation occidentale. Tout propos ou défiance à l’encontre de l’islam et du tiers-monde devint du racisme et la cause fut entendue !
Mais voilà que l’Eglise et quelques autres aveugles ont les écailles qui leur tombent des yeux : en Irak, les chrétiens sont menacés d’extermination ! Que ceux d’Algérie, de Turquie, de Bethleem, d’Egypte ou de Syrie aient déjà subi le même sort, mis en croix comme ces malheureux Assiro-chaldéens, ne leur était pas apparu depuis 50 ans !
Mais enfin, il y a eu la plaine de Ninive et on en parle !
Alors il faut les sauver, et du coup, des responsables politiques qui avaient souvent pris le chemin des capitales arabes comprennent que le sort de la civilisation européenne est en jeu. Ils découvrent – ou acceptent enfin – qu’un grand remplacement est en cours en France et en Europe et que l’islam en est le fer de lance. Ils savent que toutes les luttes fratricides sont mortelles et que l’alliance avec les pays qui portent cet héritage judéo-chrétien et gréco-latin doit être renouée et les querelles qui ont prévalues depuis 40 ans doivent cesser.
Les Etats-Unis sont dans une mauvaise passe, aux mains d’une clique de gauche qui veut détruire l’identité de ce grand pays. Les Américains qui luttent et sont sur le point de s’insurger contre la trahison doivent être nos amis et nous devons les aider à remettre leur pays dans le droit chemin. Israël, que beaucoup ont combattu depuis trop longtemps, est la forteresse d’Europe et de l’Amérique sur la Méditerranée et si elle tombait nous serions en première ligne. Il faut donc soutenir Israël dans les guerres qu’elle mène contre des terroristes islamiques qui veulent aussi notre mort.
Enfin, la Russie ne peut être notre ennemie, elle est une des fleurs de la culture européenne, et a abandonné la folie léniniste et communiste pour se développer. Nous ne pouvons suivre des politiques qui sont la négation de nos intérêts et de nos amitiés.
Plus aucun conflit avec des puissances d’origine européenne, avec des peuples blancs et chrétiens de par le monde. Les intérêts d’Etats sont respectables mais ne peuvent aller contre l’intérêt civilisationnel qui nous lie.
La France, quant à elle, doit redevenir maîtresse d’elle-même et retrouver la maîtrise de son territoire sur lequel le peuple de France, d’origine européenne et de culture gréco-latine doit pouvoir vivre sans entrave.
Dans ces conditions, on peut saluer le changement de ligne géopolitique qui semble s’opérer au Front National, qui prouve par là que la raison lui revient et qu’il est digne de gouverner.
Un dernier effort pour sortir de la sclérose économique qui consiste à maintenir comme faisant partie du « patrimoine » l’étatisme qui est la cause du déclin économique et financier et nous pourrons alors espérer de l’avenir.
 Mais la route sera longue et dure, et rien ne sera possible sans sacrifice.
Source Nouvelles de France